Si le sort des profils traditionnellement discriminés semblent également s’améliorer (mères d’enfants en bas âge, personnes noires, obèses…) la vigilance reste de mise pour les femmes qui rejoignent cette année les hommes dans leurs craintes d’être discriminés à raison de l’âge. La question du fait religieux reste aussi toujours plus complexe à gérer en 2016.
Jugé problématique pour le recrutement ou encore la promotion interne, le port d’un signe religieux visible apparaît comme le critère le plus stigmatisant mais il n’apparaît pas comme un élément perturbant l’ambiance de travail. D’ailleurs, seuls 6% des salariés français jugent que leur entreprise doit en faire une priorité d’action.